Bataille pour Bravarus IV (21 et 22 avril 2012)

LE FERMIER

Ce jour là, plus que les autres, les soleils de Baravus IV écrasaient de leurs rayons le jeune Ravier. Non content de s'être lever bien avant les aurores pour moissonner les champs, il lui fallait gravir ce mont, au zénith du jour.

Il observa ses compagnons de transhumance, devants lui, trébuchant sur chaque pierres, les anciens du village avec leurs silhouettes maigres, bossues, brisé à la peau parcheminé. Derrière Progressant d'un pas nonchalant, affirmant toute la puissance de leur musculature deux Gorx dans la fleur de l'age . Le contraste entre les deux groupes fit sourire Ravier un instant, puis les sombres songes le submergèrent à nouveau.

Ces derniers temps tout semblait se dégrader. La cité ruche Archéen subissait des révoltes peux communes, les récoltes étaient les pires de mémoires d'homme et le ciel c'était embraser sous le passage d'un rock fabuleux il y a peut.

Pourtant les anciens eux semblaient à la fête, ils étaient ainsi à chaque rite de passage d'un jeune adulte.
Il avait accompagné ses deux frères ainés il y a bien des années de ça.
La première fois lui avait parue affreusement barbare, ne lui en restait que les cris des bêtes et l'odeur du sans. La deuxième, plus âgé, fut plus festive. Les peintures et gravures ancienne l'avait fasciné. Son grand père l'avait alors régalé des récit de cet ancêtre qui avait reçu le don, depuis on appliquait rigoureusement le rite en attendant son retour.

Ce soir verrai son tour. Il s'abreuverait de sang chaud chanterai les mélopées , danserai avec les ombres du couchants. Tout ça à la gloire des dieux anciens.

L'OFFICIER

Le colonel Straïhan avait toujours été un homme droit, inflexible. Le Meilleur des subordonnés, combattre sur un front, tenir une position, réprimer des troubles... S'appliquer à la tache sans remise en question d'aucune sorte.

Il se revoyait encore franchir les grandes portes richement décorées du bureau du Gouverneur Bourde, seigneur de Bravarus IV. Il le salua comme se doit de le faire tout officier et attendit.

L'homme fini par lever les yeux de la carcasse de poulet frit qu'il était en train de manger. La dernière fois que Straïhan avait vue un tel enthousiasme à dévorer des chairs cuite, c'était sur un champs de bataille. Son officier en second gisait à terre ronger par les bio acides, la créature qui avait levé les yeux sur lui, la bouche dégoulinante de sang chaud, partager alors le même regard que le gouverneur.
Les joues de l'homme gras et bouffi s'agitèrent et des bouts de viande chutèrent de sa moustache fourni.

" Mon bon Straïhan ! Quel sont les nouvelles du front ?
- Mauvaises j'en ai bien peur Monsieur le Gouverneur, le colonel tendit la data base, Le gouverneur la saisie non sans avoir au préalable essuyé sa main sur son imposante bedaine. Ils parcourus les données furtivement et pris la parole.
- Mauvaises effectivement. Est ce la tout l'étendu des capacité de vos hommes ? En moins de deux jours les murs Nord et Est de la cité sont tombés sous les assauts des peaux vertes et non content de ça vous avait laissé les émeutiers hérétique embraser la cité.
- Les effectifs et le matériel ne sont pas adapté Gouverneur, il nous faut des renforts ou l'ennemi intérieur nous submergera alors que nos hommes tente de repousser les Orks. Les flottes en stationnement dans le secteur pourrait être en position... La fin de sa phrase s'éteignit dans les rugissements.
- DES RENFORTS ! HORS DE QUESTION ! Des bouts de viande pré-mâché volèrent par dessus le bureau finement ouvragé. Tant que je serai gouverneur jamais je ne ferai appel à eux ! Je ne suis pas un faible. Vous allez redoubler à la tache et reprendre le contrôle de ma cité. Vous avez vos ordres.
- Bien monsieur le Gouverneur. "

Il en étai donc là, radio en main. Soit il restait le soldat qu'il avait toujours était et ce monde était perdu ou il reniait toutes ses valeurs.


Bien au dessus à bord du vaisseau marine, l'officier radio pivota pour faire face au capitaine : - capitaine, une communication de la surface urgente, c'est le colonel Straïhan du 981eme.

LE CHEF DE GUERRE


Trop de temps, bocou trop de temps, se fessaient la réflexion le grand chef de Guerre Ork. Les boys y vont finir par êt' intenabe.
Le Rock filer dans la galaxie depuis tellement de temps qu'on avait perdu le compte une fois passé les doigts et les orteils de toutes la bande de Kiric trois fois, personne ne connaissait le chiffre qui venait après.

Il observait de droite, de gauche les visages de ses « hoficer ». Le'quel ki me trahira en prems ? Les doutes il aimait pas ça, ça fait travailler le cerveau et on en devient moins bon au combat après. Et il remarqua, Zibok le grand bizarboy et Congork le Nob n'étaient pas encore à la réunion. Eux ! Imposib le vieux et trop faible, on voit presque à travers et le jeuns et pas assez fort pour plier les aut's.

La porte s'ouvrit dans un grand fracas ! Deux ork soutenaient Zibok une main sous chaque bras, Congork à leur suite.

"- Ouske vous étiez ! ? La réuniong elle a comancé ! Hurla le chef de guerre.

- Je venais quant je suis tombait sur Zibok, une troupe de boys l'avait pris pour un Gret tellement l'énergie waahg elle est faibe en lui, et lui fessait nettoyer le pont. Le temps de les rouster un peu et Zibok il a tout briller de vert et crame des grots, ces jambes le portaient plus après. Il dit que Gork lui a parler.

- Gork ou Mork ? Demandèrent à l'unisson les Nobz.

- Tout autant l'un que l'autre, fit la voie décharner du bizareboys. Il m'a dit ke not voyage il est fini. Qu'une planet' avec de grandes batailles était proche avec plein z'hom' à tuer. Tout ça en armée, l'ork brandis trois doigts sans prononcer de mot. il est connu que les bizareboys comme beaucoup d'autres de ses congénères on le calcul limité à « un » et « beaucoup ».

- Trois ! Fabuleux ! Il y aura forcement beaucoup de pièces détaché à récupérer, c'était écrié Wurthok le mécano. On doit y aller chef, les câles sont vide et il m'est impossible d'entrenir les machines avec ce qu'il me reste sous la mains.
Trois ? Ke c'est quoi trois ? Il y a juste pas trop beaucoup, avait penser le chef ork. Il n'aimait pas ce mécano, c'était un « je ni », il était difficile de comprendre tout ce qui sortait de sa bouche, mais impossible de le dire aux autres sans passer pour un Gret.
- Mes bravs y ont besoin de baston de toute façon. Que le Rock écraz ce caillou !
A cet instant Zibok éructa brillamment laissant échapper une plume d'un bleu soyeux...

MATRICULE 15276

Dans l'obscurité glaciale de la nuit, le soldat matricule 15276 Jhon Connors, contemplait les étoiles. Comment peut il faire aussi froid la nuit quant il fait si chaud le jour avec ces deux soleil ? Jhon s'efforçait de penser à des choses banales.

Les trois dernières semaines à repousser les peaux verte avait prélevé un fort tribu en homme dans les rangs de son escouade.
Des dix compagnons ils n'étaient plus que six, pour commencer ce fut Brad, suivi de Pit. Puis vin le tour de Léo et aujourd'hui ce fut Nardo.
Réduit à un tel nombre on les avait retrancher derrière les lignes pour retenir les incursions des commandos Ork.

Il se demander quel visage aurait la mort Verte quant son tour viendrai. « L'empereur vous garde », ces mots rituel, l'officier de commandement leur disait à chaque réaffectation.
J'espère qu'il ne nous garde pas, ce fit la réflexion John, car si c'est là toute ça miséricorde, elle est un bien piètre bouclier. Voilà que je blasphème maintenant. J'ai trainé trop longtemps dans les églises païenne de cette maudite ruche.

Connors avait découvert en débarquant, que le laxisme du Gouverneur local permettait à de nombreuses « églises » de culte locaux d'avoir pignon sur rue.
Durant ses quartiers libres, il s'était fait un devoir puis un plaisir, il ne saurait dire quant l'un pris la place de l'autre, de visiter chacune d'entre elles pour les référencer.

Elles offraient toutes un culte différent avec des structures aussi varier que différentes. Cependant toutes possédaient la même chose invariable, un autel païen frappé d'un incroyablement complexe sceau impérial.
Parfois il lui semblait même que l'antique verrou palpitait et crépitait d'énergie.

Cette nuit c'était dans les vestiges de l'une d'elle qu'ils étaient en faction.
Les orks avaient démembré leurs occupants avant de succomber à l’assaut des Gardes impériaux.

Un bruit électrique le tira de ses pensées.
Dans l'obscurité il avança vers l'autel. Quant il fut au dessus de lui, il entendit la charge de la massive créature verte qui lui fessait fasse par delà la stèle.

Avec la même vélocité que l'éclair d'énergie qui fulgura de l'hôtel pour frapper l'ork, le soldat matricule 15276 pensa, l'empereur me garde ! Mon cul !
Une fois la luminance apaisée, il pausa les yeux sur la stèle et constata que le sceau était brisé. Plus loin l'ork convulsé emprunt à une mutation terrible...


Quelque part dans le Warp un archi-mage releva la tête avec un sourire aux lèvres. A ses pieds gisaient des dizaines de corps d'apprentis.
- Mon Prince, les sceaux sont brisés vous pouvait retourner chez vous pour la grande messe...

L'OFFICIER

Sous la tente de commandement il régnait une chaleur étouffante, sa gorge était sèche et irrité. Toutefois Straïhan ne pouvait se résoudre à boire, les odeurs de chairs calcinées et le souvenir de la dernière bataille lui retourné les entrailles.

Les renforts, ou plutôt l'impressionnante force armée du Capitaine Athémius avait balayé les hérétiques d'un revers de main. Peut d'hommes étaient tombés et la position était sécurisée. Cependant...
Par l'empereur ! Faite que ne soit qu'un défaut matériel, pria-t-il. C'était avec effroi qu'il avait perdu sa superbe en apprenant la perte de contact avec les fronts extérieur.

Athémius avait décrété que l'ennemi intérieur était prioritaire et n'avait dépêché que peut de force pour venir en aide aux troupes en bordure de la cité.

Ses informations personnelles, fournis par les enquêteurs de l'inquisition, fessait acte de puissants vecteur d'énergie Warp, et il redoutait l’incursion des forces de la ruine. Ses doute c'étaient vérifiés. L'empereur ai en sa grâce l'ordo héréticus pour son efficacité.

Le crépitement de la radio le tira de ses bénédictions. "PC ici Aurore II, je survole la zone. Plus un souffle ne se fit entendre sous la lourde bâche. Nos troupes sont en déroute. Je répète nos troupes sont en déroute, les peaux verte submerge les murs de toute part". A cette annonce un frisson parcourue tout le corps du colonel et soudain malgré ses entrailles malade il se surpris à désirer fortement un verre de Brandy.

LE MECANO

Wurthok avait la tête dans les vestiges du Lemanruss, passe moi la clé de 12, avait il demandé à son Grot Bidouilleur avant de remarquer la pénombre soudaine. Sa tête émergea pour faire face aux colossales botte de cuir du grand chef de guerre. Alor tu touv' ce ky te fau ? Demanda le puissant ork. Oui et bien plus encore, répondit il en en essuyant le cambouis de ses mains.

Il fallait reconnaitre que l'assaut du matin avait était plus que fructueux et dépassait tout ses espoirs. Si la marrée verte continué à faire de telles moisson, il finirai par pouvoir équipé de méga armure tout les Nobz et il resterait de quoi faire des grot tanks.

Si nous restions un peut plus longtemps... Trois, quatre batailles. Il lu la perplexité dans les yeux de son leader. Pas trop beaucoup, à ses mots les pupilles réagir positivement. Pas de bille ! Zibok y di ke le sol et bon et plein d'énergy et que Mork ou Gork y sait pas ben, fera sorti de terre la plus gross Waahg du poix noir et diamant. Alor on rest' et on se bat

L'ARCHI-MAGE

Aucuns des futurs qu'il avait entrevu dans la toile ne le conduisait ici, et pourtant il y était.
Les sous sol de cette ruche devait empester comme un troupeau de Grox frappé de dysenterie. C'était bien la première fois qu'il se félicité de ne plus avoir à se soucier de ce futile sens.

Replier dans ce réservoir d'eaux usées, il cherchait à percevoir une possibilité de contre attaque fructueuse pour calmer l’ire des dieux sombre.

Il tournait et retourné en tout sens les tactiques, les forces en présences. Tout d'abord rallier mes hommes, pensait il. Mais après... ? Après ! Il savait très bien ce qu'il lui restait à faire, mais il se posait toute fois la question dans l'espoir qu'une voie lui donne une autre solution.

Personne ne fit écho à sa requête, mais une idée germa. Oui, oui ! C'est osé mais ça peux marché, il jubilé en imaginant le maigre espoir. Si je libère assez d'énergie, je pourrai ouvrir un faille si grande qu'elle avalerai la planète et alors point de châtiment pour moi mais...

bravo a juju a+

Excellent week-end, avec les parties qui vont bien et la marade qui va avec !
Merci Juju d'avoir pris la peine d'organiser le tout !


K.

Yep, merci à Juju d'avoir chapeauté le tout, c'était réussi
Et merci à tous, coéquipiers comme adversaire, pour ce très bon moment de jeu, le popocaslip c'est rigoulou !
Du bon week-end de karenteka en bonne compagnie !


PS : et désolé encore d'être parti avant tout le monde sans avoir aidé à ranger, devoir citoyen oblige (circonscription à 1h30 de route qui ferme à 18h, et j'allais pas faire un aller-retour le matin ).

Ce fut bon, ce fut marrant, ce fut épique, ça a pété de partout. Apo joué comme ça, j'en demande plus souvent.
Merci à Juju pour l'organisation du week-end, et merci à la vache de Moboutork d'être venue, elle a pas été déçue du voyage.

Syl.

Yep, merci à toi Juju pour l'orga et les petits bonus bien sympathiques.

PS : et désolé encore d'être parti avant tout le monde sans avoir aidé à ranger

De toute façon, on a compris que tu venais uniquement pour gagner

Merci à mes camarades de batailles, j'ai passé d'excellents moments avec vous.
(Et je salue encore une fois la "positivité" de certains face à nos hordes démoniaques !!)

Geo

Merci messieurs.

C'était fort valorisant et gratifiant de faire tout ça. J'ai pris autant de plaisir que vous et peut être encore plus, en vous sachant derrière moi et en contemplant votre plaisir de jeu.

S'il faut réitérer c'est avec plaisir.

JUJU

PS : Ce soir relâche je ferai le fluff dans les jours qui viennent.

yad a écrit:... merci à la vache de Moboutork d'être venue, elle a pas été déçue du voyage.

Syl.

Ah ouais?? Quand tu en auras trois sur le dos, 'feras moins le mariole....
B.

L'OFFICIER


Le colonel était inquiet. Le capitaine Athémius lui avait abandonnée les positions intérieures avec un maigre renfort, ce dernier préférant concentrer l'essentiel de sa force sur la menace verte.

Repousser des émeutiers, c'était à sa porté, mais des forces martiales de la ruine, toute affaibli qu'elle soit... Le moral des hommes sera-t-il assez fort ? Surtout qu'ils sont privé de mon commandement, se questionnait il.

En effet, juste avant de partir en mission, l'Inquisitrice de l'Ordo Héréticus, Sonia De Barrieu, avait réquisitionné son concours et celui de sa meilleure troupe de choc pour prendre d'assaut le palais du Gouverneur.

La progression dans le bâtiment de l'adimistratum fut ardu, prélevant un fort tribu dans les GI comme dans la suite inquisitoriale. Les gardes du palais redoublaient d'une force et d'une volonté peut commune. Aussi c'est avec la seule compagnie de Lady De Barrieu qu'il franchit les portes du bureau de Gouverneur, non sans avoir passé par le fil de l'épée et la puissante frappe du gantelet énergétique les derniers gardes du corps.

Le spectacle qui s'offrit à leurs yeux était abject. Sur le bureau gisait le corps d'une servante replète, de toute évidence la pauvre femme était morte depuis bien longtemps. Une créature bouffi, à demi nue, dont les replis de graisse menaçaient d'engloutir le bureau lui même, était entrain de se repaître des entrailles moisies de la malheureuse.

Straïhan eu bien du mal à réprimer des hauts le cœur. C'est lui, réussit-il a dire dans un soupir tout en désignant la vorace créature.

L'inquisitrice brandit sa Rossette inquisitoriale, Gouverneur Bourde ! Au nom du saint ordre que je représente, moi Sonia De Barrieu vous condamne à mort pour collaboration avec les forces de la ruine et pratiques impies !

L'être qui fut autre fois un homme leva un regard hébété sur la femme, abandonnant son macabre souper. Ses pupilles jaune sur fond noir exprimaient l'incompréhension de l'animal apeuré devant un châtiment injustifié.

Procédez à la sentence Colonel, Proclama l'inquisitrice. Straïhan abattit son gantelet énergétique sur le crâne de la bête, pulvérisant les chairs et fracassant les os.